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FSU-SNUTER

Organisation syndicale, regroupant des agents des collectivités territoriales et de leurs établissements publics quel que soit leur métier, leur statut, leur employeur.

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ACTU A LA UNE

journée de la terre palestinienne

Halte au génocide à GAZA ! Sanctions contre ISRAEL !

30 Mars Journée de la Terre palestinienne

Le 30 mars est chaque année une journée particulière en Palestine, et pour toutes et tous les Palestiniens, qu’ils vivent en Israël, en Cisjordanie et à Gaza, dans les camps de réfugiés des pays arabes, ou dans la diaspora dans le monde entier. C’est “la Journée de la Terre” commémorée depuis le 30 mars 1976.

Le début des événements remonte à l’annonce par le gouvernement d’occupation israélien dirigé par Yitzhak Rabin, en 1975, d’un plan de judaïsation de la région de Galilée. L’objectif était de construire des colonies juives sur des terres appartenant aux citoyen·nes arabes palestinien·nes qui représentent la majorité dans cette région, sous le nom de “Projet de développement de la Galilée”.

Le 30 mars 1976, la police israélienne tire sur des Palestiniens qui manifestaient contre la confiscation de leurs terres. Bilan : six morts, des dizaines de blessés et des centaines de détenus. Le 30 mars est devenu pour tous les Palestiniens et Palestiniennes dans le monde la « Journée de la Terre ». Elle est le symbole de leur attachement à leur terre, de leur résistance et de leur lutte contre l'occupation et la colonisation.

Cette année, nous commémorons le 48ème anniversaire de la Journée de la Terre qui prend un caractère particulier avec le génocide en cours dans la Bande de Gaza qui dure depuis plus de cinq mois sans discontinuer.

En toute impunité, le gouvernement suprémaciste d'extrême-droite israélien s'affranchit du respect du droit international. Il refuse d'appliquer l'ordonnance de la Cour Internationale de Justice (CIJ) pour l'arrêt des actes génocidaires. Au contraire, il intensifie sa guerre atroce et cruelle contre la population de Gaza. Il tue, mutile des milliers d'hommes, de femmes, d’enfants, de bébés. Il détruit habitations, hôpitaux, écoles, universités, monuments et biens culturels. Rien n'est épargné ! Aux bombardements intensifs et déplacements forcés, il a ajouté l'organisation délibérée de la famine. Gaza sous blocus était une prison à ciel ouvert, c'est devenu un cimetière à ciel ouvert !
Il faut arrêter les massacres et acheminer l'aide humanitaire sans restriction ni contrôle.

En Cisjordanie, la population subit un nettoyage ethnique avec les attaques répétées de l'armée et de colons israéliens protégés par l'armée. Des centaines de morts, des habitations détruites, des confiscations de terres et des emprisonnements par milliers rendent toute vie normale impossible et encouragent ainsi le déplacement ou l'exil.

Au vol des terres s’ajoute celui de 80% des réserves d’eau au profit des colonies illégales, privant ainsi les agriculteurs palestiniens d’une ressource indispensable à la sécurité alimentaire des Palestiniens de Cisjordanie.

Le nombre de colonies a considérablement augmenté ces dernières années, le nombre de leurs habitants est passé de 250 000 en 1993 à plus de 700 000 en 2023, et plus de 700 checkpoints quadrillent la Cisjordanie, un territoire de 5 600 km².

A Gaza comme en Cisjordanie, l'objectif est d'éliminer la présence palestinienne pour la remplacer par des colonies juives. Par leur inaction, voire par leur soutien direct, les pays occidentaux alliés d'Israël, dont la France, sont complices de ce génocide.

Assez de paroles et de discours, nous exigeons des actes :
- un cessez-le-feu immédiat, total et permanent dans la Bande de Gaza
- l'entrée sans restriction de l'aide humanitaire et le financement de l'UNRWA
- le retrait immédiat des troupes israéliennes de Gaza et de Cisjordanie
- le financement par Israël de la reconstruction de Gaza
- la libération de tous les prisonniers politiques palestiniens soumis à des traitements inhumains
- des sanctions contre Israël tant qu'il ne respecte pas le droit international
- l'arrêt des livraisons d'armes par la France à Israël et de toute coopération militaire
- la France doit agir pour la suspension par l'U.E. de l'accord d'association
Le peuple palestinien a le droit de vivre sur sa terre.

Nous soutenons son droit à l’autodétermination, sa lutte contre l'occupation et la colonisation jusqu'à l'instauration d'une paix juste et durable.
Nous appelons à manifester, se rassembler pour la « Journée de la Terre » partout en France sur les bases de cet appel.
À Paris, nous appelons à une manifestation samedi 30 mars à 14h place de la République

Membres du Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens signataires :

Agir Contre le Colonialisme Aujourd’hui (ACCA) – AFD International – Agir pour le changement et la démocratie en Algérie (ACDA) - AILES Femmes du Maroc - Américains contre la guerre (AAW) – Apel-Égalité – Association nationale des communistes (ANC) - Association des Travailleurs Maghrébins de France (ATMF) - Association des Tunisiens en France (ATF) - Association France Palestine Solidarité (AFPS) - Association pour la Taxation des Transactions financières et pour l’Action Citoyenne (ATTAC) - Association pour les Jumelages entre les camps de réfugiés Palestiniens et les villes Françaises (AJPF) - Association des Universitaires pour le Respect du Droit International en Palestine (AURDIP) - Cedetim / IPAM - Collectif des Musulmans de France (CMF) - Collectif Faty Koumba : Association des Libertés, Droits de l'Homme et non-violence - Collectif Judéo-Arabe et Citoyen pour la Palestine (CJACP) - Collectif Paix Palestine Israël (CPPI Saint-Denis) - Comité de Vigilance pour une Paix Réelle au Proche-Orient (CVPR PO) - Comité Justice et Paix en Palestine et au Proche-Orient du 5e arrt (CJPP5) - Communauté de l'Arche - Confédération générale du Travail (CGT) - Confédération Internationale Solidaire et Écologiste - Droit-Solidarité – Ensemble! Mouvement pour une alternative de gauche écologiste et solidaire - Europe Ecologie les Verts (EELV) – Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives (FTCR) – Fédération Syndicale Unitaire (FSU) - Forum Palestine Citoyenneté – La Confédération paysanne - La Courneuve-Palestine – La France Insoumise (LFI) - le Mouvement de la Paix - les Femmes en noir (FEN) - Ligue Internationale des Femmes pour la Paix et la Liberté, section française de la Women’s International League for Peace and Freedom (WILPF) (LIFPL) - Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) - Organisation de Femmes Egalité - Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF) - Parti de Gauche (PG) - Participation et Spiritualité Musulmanes (PSM) – Pour une écologie populaire et sociale (PEPS) - Sortir du colonialisme - Union communiste libertaire (UCL) - Union des Travailleurs Immigrés Tunisiens (UTIT) – Union étudiante -Union Juive Française pour la Paix (UJFP) -Union Nationale des Etudiants de France (UNEF) – Union Syndicale Lycéenne (USL) - Union syndicale Solidaires



augmenter les salaires

Salaires Carrières Urgence sociale

*2024 ne peut être une année blanche !

Alors que l’inflation de ces deux dernières années a provoqué une hausse durable
des prix, l’absence de mesures générales significatives pour les salaires et les
carrières est inacceptable.. [...]

En effet, nos qualifications ne sont pas reconnues à leur juste valeur et nos carrières sont bloquées. Cette situation intenable a de graves répercussions sur les conditions de vie et de travail de tou-te-s les agent-es de la Fonction publique.

L’effondrement du niveau des rémunérations des agent·es publics, impose d’ouvrir sans délai des négociations pour améliorer les carrières, les grilles de rémunération et obtenir la
revalorisation significative du point d’indice.

 

POUR NOS SALAIRES, NOS CARRIÈRES, ET NOS, CONDITIONS DE TRAVAIL

 

TOUTES & TOUS LE 19 MARS EN GRÈVE ET EN MANIFESTATION

gigaphoneExigeons ensemble :

  • Une refonte générale des grilles : + de cohérence c’est + de reconnaissance !
  • 50 points d’indice pour toutes et tous
  • Le minimum Fonction publique (SMIC) à 1800€ net
  • La reconnaissance des qualifications
  • L’égalité professionnelle réelle femmes/hommes 

Communiqué de presse.

Le 8 mars, en grève féministe pour gagner l’égalité !

En ce 8 mars, la FSU exprime toute sa solidarité internationale pour toutes les femmes et les peuples qui luttent dans les conflits armés toujours plus dévastateurs pour les femmes et les filles, pour toutes celles et ceux qui luttent contre les régimes autoritaires et fanatiques [...]

En ce 8 mars, la FSU exprime toute sa solidarité internationale pour toutes les femmes et les peuples qui luttent dans les conflits armés toujours plus dévastateurs pour les femmes et les filles, pour toutes celles et ceux qui luttent contre les régimes autoritaires et fanatiques qui bafouent nos droits les plus fondamentaux, contre les extrêmes droites qui érigent la xénophobie et le racisme en étendard pour diviser et masquer leur politique anti sociale et masculiniste, contre les gouvernements qui mènent des politiques libérales qui détruisent notre planète comme nos systèmes de solidarité et appauvrissent toujours plus les femmes.

Solidaires de celles et ceux qui luttent pour un monde de paix, de justice sociale et de solidarité, nous voulons des sociétés plus démocratiques, égalitaires, féministes et écologistes.

En France, le chemin vers l’égalité entre les femmes et les hommes est encore long. La victoire historique obtenue par la constitutionnalisation du droit à l’IVG, dont nous ne pouvons que nous féliciter, ne doit pas nous faire perdre de vue que nous devons continuer à mener les luttes pour l’égalité avec opiniâtreté, notamment pour l’égalité professionnelle et salariale.

Avec un écart de salaires qui demeure de plus de 400 euros en moyenne entre les agents et les agentes dans la Fonction publique à travail égal et des pensions de droit direct inférieures de 40 % pour les agentes, il devient urgent de revaloriser nos métiers largement féminisés, de mettre fin à la précarité, aux temps partiels imposés et à l’augmentation de la part de la rémunération au mérite dans nos rémunérations.

Au moment où dans les différents ministères, les discussions se mènent pour renouveler les plans d’action pour l’égalité entre les femmes et les hommes, la FSU revendique des mesures et des moyens ambitieux permettant de résorber les écarts de salaires entre les femmes et les hommes.

Pour cela, des politiques plus volontaristes et un budget conséquent doivent y être consacrés. Dans l’immédiat, l’État employeur serait bien inspiré de suivre l’impulsion donnée par d’autres employeurs (entreprises, associations ou collectivités) concernant la prise en compte de la santé menstruelle des femmes en instaurant un congé spécifique pour les agentes de la Fonction publique sans jour de carence et sans justificatif médical.

La FSU revendique la prise en compte de la spécificité de la santé des femmes au travail et la conquête de droits à absence notamment lors des périodes menstruelles.

Le propos martial du président Macron sur le « réarmement démographique » donne des gages supplémentaires à la droite et aux extrêmes droites - rejoignant clairement les thèses nauséabondes du prétendu « grand remplacement ».

Nous combattrons cette misogynie profondément réactionnaire et toute volonté de s’approprier nos ventres au prétexte d’une obsession nataliste et nationaliste. 1 Contre leur vision élitiste de l’Egalité, nous continuerons de nous attaquer aux racines des inégalités et en y opposant des revendications urgentes, en particulier l’abrogation de la loi immigration, la régularisation de toutes les femmes sans-papiers qui travaillent ici et des moyens financiers pour mener des politiques publiques en faveur de l’emploi, de l’égalité salariale femmes/hommes, de lutte contre les violences sexistes et sexuelles mais aussi d’accès à l’éducation et à la santé.

Contre leur volonté de démanteler les services publics et de dégrader toujours plus les conditions de travail des personnels, contre les politiques d’austérité, la FSU appelle à la grève féministe le 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, et à être présent·es dans les mobilisations pour exiger des mesures immédiates et ambitieuses pour toutes les femmes.

Faire avancer les droits des femmes c’est faire avancer les droits de toutes et de tous et construire des sociétés justes, solidaires et démocratiques. Bagnolet, le 6 mars 2024

 

Le 8 mars : pour une égalité réelle hommes-femmes dans les écoles...

Le 8 mars : pour une égalité réelle hommes-femmes dans les écoles, dans les établissements scolaires, dans les universités et ailleurs. Sur le front de l’égalité, le ministère de l’Éducation nationale de la Jeunesse communique beaucoup, mais agit peu.

DES MOYENS POUR METTRE FIN AUX INÉGALITÉS SALARIALES ET À LA PRÉCARITÉ

Dans l'ensemble de la société, les inégalités salariales existent et persistent au niveau élevé de 22% au détriment des femmes. À l'échelle d'une journée de travail salarié, les femmes devraient s’arrêter de travailler à partir de 15h40 pour tenir compte des inégalités de salaire.

Dans la fonction publique, censée être exemplaire, la situation n'est pas plus reluisante : les femmes représentent 73% des personnels dans l’Éducation nationale mais leur salaire net moyen demeure aussi inférieur à celui des hommes de 15%. Le Pacte qui s’inscrit dans le processus de prétendues revalorisations des personnels enseignants est, là encore, particulièrement préjudiciable aux femmes.

De la même manière, les emplois précaires, dont les missions rendent compliquée l’articulation entre vie privée et vie professionnelle, augmentent et sont toujours majoritairement occupés par des femmes. Ils offrent de faibles perspectives de carrière et sont peu rémunérés. C’est la réalité des AESH qui sont pour 93% des femmes. Ces personnels et ce métier sont donc emblématiques des urgences pointées par le plan d’action national en faveur de l’égalité professionnelle femmes/hommes.

La précarité n’a sa place ni dans l’Éducation nationale, ni dans les universités, ni ailleurs.

DES MOYENS POUR METTRE FIN AUX VIOLENCES SEXISTES ET SEXUELLES

Alors qu’une femme sur trois est victime de harcèlement sexuel sur son lieu de travail au cours de sa vie, les procédures prévues par la circulaire du 9 mars 2018 relative à la lutte contre les violences sexuelles et sexistes dans la Fonction publique ne sont pas ou peu appliquées dans l’Éducation nationale.

L’accord “Égalité entre les femmes et les hommes” dans la fonction publique précise pourtant explicitement que les employeurs publics ont un devoir d’exemplarité en la matière et que le principe de tolérance zéro doit être effectif. Pour nos organisations syndicales, les dispositifs de signalement et d’accompagnement doivent se déployer maintenant sur tous les territoires et des moyens dédiés doivent être fléchés.

Les personnels doivent aussi bénéficier d’une formation au recueil de la parole des élèves et étudiant·es avec lesquel·les ils et elles sont au contact au quotidien tout au long de l’année, afin d’alerter les services spécialisés dans la prise en charge de ces types de violence.

Ni les femmes, ni les minorités de genre, ni les enfants ne doivent subir de violences sexistes ou sexuelles dans nos établissements. Des protocoles rigoureux et clairs doivent être diffusés pour répondre à l’urgence des situations des victimes afin de les protéger et les accompagner.

Nos organisations FSU, UNSA, CFDT-SGEN, CGT et SUD éducation appellent à faire du 8 mars une grande journée de grève féministe de lutte pour les droits des femmes et des minorités de genre dans le secteur de l’éducation.

Nos organisations syndicales soutiennent la mobilisation des femmes, et minorités de genre du monde entier, notamment dans les pays où règne une répression meurtrière et où les droits les plus fondamentaux des femmes sont bafoués.

LA SANTÉ DES FEMMES

Les femmes n’ont pas à recevoir d’injonction à la maternité et le Président de la République devrait plus se préoccuper d'inscrire le droit à l’IVG dans la constitution que d’inciter les femmes à faire plus d’enfants ou d’envisager de réduire le congé parental à 6 mois. Le “réarmement démographique” annoncé par le chef de l’État s’inscrit dans une politique réactionnaire du contrôle des ventres et des utérus des femmes à des fins politiques dans le contexte xénophobe du vote de la loi immigration.

La fécondité des femmes n’a jamais été une priorité de santé publique jusque-là comme le montre les difficultés d’accès à la PMA pour les femmes seules ou les couples lesbiens ou encore à la congélation des ovocytes. Il est temps de mettre les moyens pour préserver la santé des femmes.

Il est grand temps pour le ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse, mais aussi pour l’Enseignementv supérieur, de mettre en place un congé menstruel. L’invisibilisation au travail des douleurs menstruelles et de l’endométriose conduit à la normalisation des douleurs, à nous rendre silencieuses face à la douleur et à perpétuer le tabou des règles. Les douleurs menstruelles sont minimisées, invisibilisées ou considérées comme normales. Pourtant, elles pèsent sur la rémunération des personnes menstruées qui subissent le jour de carence lorsque la douleur les empêche d’aller travailler.

Près d'une femme sur deux dit souffrir de dysménorrhée (règles douloureuses).
➢ 65 % des femmes salariées ont déjà été confrontées à des difficultés liées à leurs règles au travail.
➢ 19% ont renoncé à aller au travail en raison de règles douloureuses.
➢ 27% n’ont pas osé dire à leur supérieur hiérarchique qu’elles étaient dans l’incapacité de travailler à cause de leurs règles (douloureuses, trop intenses, flux trop abondants…).
➢ 35 % déclarent que leurs douleurs menstruelles impactent négativement leur travail.
➢ 1 femme sur 10 souffre d’endométriose.

Nos organisations FSU, UNSA, CFDT-SGEN, CGT et SUD éducation appellent à faire du 8 mars une grande journée de lutte pour les droits des femmes, y compris dans le secteur de l’éducation.

Nos organisations revendiquent :

  • l’égalité salariale entre les hommes et les femmes et la réduction du temps de travail pour permettre l’articulation vie privée/vie publique.
  • une formation initiale et continue des personnels dédiés à la lutte contre les stéréotypes sexistes et aux inégalités entre femmes et hommes, déployée dans toutes les académies
    et accessibles à un grand nombre d’agent·es chaque année.
  • une véritable éducation à l’égalité, à la sexualité et contre les stéréotypes sexistes pour les élèves.
  • le bénéfice systématique de la protection fonctionnelle renforcée par le protocole Égalitépour les femmes qui dénoncent les violences sexistes et sexuelles au travail et les violences conjugales.
  • une formation spécifique de tous les personnels à la prise en charge des violencessexistes et sexuelles au travail mais également sur l’intérêt et les enjeux de la santé menstruelle, afin d’améliorer les connaissances et de lever les tabous.
  • Des moyens spécifiques pour mettre en oeuvre des mesures immédiates de rattrapage salarial pour les femmes discriminées sur l'ensemble de la carrière et le financement ambitieux des politiques d'égalités inscrites dans les plans d'action Égalité.
  • la mise en oeuvre d’un congé menstruel sous la forme d’ASA (Autorisation Spéciale d’Absence), à raison de vingt jours par an. La demande d’ASA pour indisposition en raison de symptômes inconfortables liés à son cycle menstruel ne devra pas faire l’objet d’un justificatif, et sera sans jour de carence ni délai.
  • la reconnaissance de l’endométriose comme affection longue durée en tant qu’ALD 30 (prise en charge à 100 % des soins conventionnés et des déplacements sans avance de frais, congés maladies sans jour de carence, aménagement du temps de travail…)
  • la mise à disposition de protections périodiques dans tous les établissements : en tant que produits de première nécessité, elles doivent être accessibles au même titre que le papier
    hygiénique dans les établissements scolaires et d’enseignement supérieur pour les élèves, étudiants·es et personnels.
  • un recrutement massif de médecins du travail, formé·es en santé au travail.
  • le bénéfice de la visite médicale annuelle pour l'ensemble des personnels.